Je reviens de 15 jours au Costa Rica, voici le récit de mon voyage.
Les photos ne sont pas forcément exceptionnelles. Cela s’explique par plusieurs choses. Déjà je n’ai pas de talent particulier pour la photo. Je n’ai pas non plus de vocation artistique et ne maîtrise pas très bien mon matos qui lui-même est assez réduit.
Par ailleurs, à quelques moments de mon voyage, l’humidité était telle que cela a considérablement altéré le dit matos pendant un moment. Mais soyons francs, je ne maîtrise pas la mise au point, les réglages, et tout le reste !
M’enfin bon, certaines sont pas mal, et puis je voulais quand même partager avec vous les espèces que j’ai pu rencontrer.
Donc principalement des reptiles et amphibiens, mais j’ai également inclus d’autres trucs comme des mammifères, des oiseaux, etc…
Oh, et ça en intéressera certains et d’autres non, mais je donne quelques informations sur certaines espèces rencontrées. Il y a peut-être des inexactitudes, n’hésitez pas à me le dire.
Après une nuit à San José, je me suis baladé vite fait dans la ville le temps de voir ça :
Sciurus variegatorusMais ce n’est clairement pas pour la ville que je suis venu. Après une petite journée à San José nous prenons la direction d’Orotina le soir, où mon premier reptile observé n’a pas un biotope très glamour.
Hemidactylus frenatusCe petit gecko originellement Asiatique a été introduit un peu partout dans les zones tropicales et s’est très bien adapté. Présent dans de nombreuses habitations, il sort la nuit pour aller faire un festin d’insectes et de papillons de nuit.
Le premier amphibien observé n’est pas non plus dans un décors de rêve… Au matin je me réveille et trouve ce crapaud en train de se noyer dans une piscine. J’ai donc pris une épuisette et l’ai remonté à la surface. Il va bien désormais même si il n’était pas forcément très content au début.
Rhinella marinaCe crapaud atteint de grandes tailles et est très fréquent au Costa Rica. Un peu l’équivalent de notre
Bufo bufo en fait. D’ailleurs il était classé dans le même genre avant.
Après un rapide petit dèj nous partons pour le parc Carara, dans le sud du pays. Sur le chemin nous croisons quelques Iguanes verts, entre autres, prenant le soleil.
Iguana iguanaCtenosaura similisDans le rio, quelques belles bêtes :
Crocodylus acutusPendant ce temps là quelques Ara rouges passent…
Ara macaoQuelques kilomètres plus loin, la réserve de Carara. Il fait beau et d’autres sauriens font bronzette.
Ctenosaura similis Anolis biporcatusAmeiva leptophrysAnolis oxylophusDendrobates auratus, localité Pacifique.
Craugastor fitzingeriBasiliscus basiliscus Un Agouti,
Dasyprocta punctata.
Cebus capucinusQuelques photos du biotope :
Ctenosaura similis juvénile
Diclidurus albusUn Coati qui traîne avec un Ctenosaura , "What’s up bro ? "
Nasua naricaAra macao Un arbre qui pique.
Nous avons pu apercevoir un Puma également, mais bien trop furtif pour prendre une photo.
Le lendemain nous prenons la direction du parc Cangreja, un parc national très récent et encore très peu fréquenté.
Quelques photos prises sur la route.
Malheureusement nous n’avons pas pu y passer beaucoup de temps mais nous avons quand même vu quelques lézards et amphibiens :
Ameiva leptophrys, encore.
Dendrobates auratusLes deux seules photos possibles sur ce
Gymnophtalmus speciosus, un lézard de 4 cm à l’âge adulte.
Plusieurs spécimens de
Bufo sp. (Ça ressemble beaucoup à des
Bufo valliceps juvénile, mais cette espèce n’est présente qu’au nord du pays…) :
Rhaebo haematiticus Lythobates warszewitschii Vue sur le parc :
Le lendemain nous traversons le pays de part en part pour aller à Tortuguero. L’arrivée dans le Limon est magnifique. Le temps se couvre considérablement l’après midi pendant la saison des pluies et tout devient plus obscure. La végétation change radicalement et est beaucoup plus dense. Ça fait tout de suite penser à Jurrasic park ! Excusez mon enthousiasme juvénile
Tortuguero est un village au bord de la Mer Caraïbe uniquement accessible par l'eau. 1h30 de bateau dans les rivières et canaux au milieu de forets tropicales humides. Les paysages sont magnifiques…
Arrivés à notre gîte nous faisons une petite promenade dans le village. Sur le terrain de foot municipal, presque au bord de la plage, nous trouvons à même le sol cette petite
Agalychnis callidryas endormie :
Après avoir discuté avec le responsable du gîte, il nous donne un tuyau pour aller sur des sentiers qui rejoignent le parc afin d’éviter de payer l’entrée… Il fait très humide mais il ne pleut pas encore.
Quelques bestioles sympathiques, mais toujours pas de serpents…
Incilius aucoinaeCorythophanes cristatusAnolis sp.Biotope :
A 16 heures la pluie se déchaîne et nous en aurons pour 48 heures non-stop. Pour autant il fait chaud et ça n’empêche pas les Ticos de faire un entrainement de foot suivi d’un match. J’espère que cette pauvre
Agalychnis s’est réveillée à temps pour se sauver avant d’être piétinée. Nous avions prévu un guide pour une balade nocturne, mais celui-ci refuse car l’orage est trop violent. On remet ça à demain. Qu’a cela ne tienne : J’attends dans mon pieu que l’orage se calme et je sors vers les 23h seul pour aller voir si je peux trouver quelque chose.
Il ne me faudra pas longtemps pour trouver quelques amphibiens.
Solidarité amphibienne avec
Leptodactylus savageii &
Rhinella marina :
Leptodactylus savageii, femelle.
C’est la plus grosse grenouille du pays. Celle-ci fait presque 20 cm de long, ¾ d’une brique de lait quoi.
Un habitant de Tortuguero passe par là et m’explique que c’est une femelle car les mâles possèdent des points rouges sur les flancs. Il m’apprend aussi que cette espèce se nourri d’autres grenouilles et de petits mammifères parfois…
Le lendemain matin nous allons visiter le parc "officiellement", mais il pleut tellement que les sentiers sont recouverts de 20 cm d’eau. A part quelques araignées et quelques
Anolis sp. qui s’abritent sous les feuilles nous n’apercevons absolument rien.
Je déconseille ce parc. La région est magnifique, les forêts splendides, mais le parc en lui-même est court et trop cher pour ce que c’est. Débrouillez vous pour y rentrer par d’autres chemins sans payer.
Et n’hésitez pas à aller à des endroits insoupçonnés parfois proches des habitations et à 20 mètres de la plage, on y fait des rencontres étonnantes.
L’après midi nous allons faire une balade en canoë sur la rivière Tortuguero et ses nombreux canaux. Nous sommes à quelques kilomètres de la frontière avec le Nicaragua.
L’endroit est splendide. J’ai laissé tombé la cape de pluie et suis intégralement trempé comme si j’étais rentré dans un bain tout habillé. La cape de pluie protège l’appareil photo dans sa housse. Appareil que je décide de sortir quand la pluie se calme ou quand une bonne occasion se présente.
Là encore plusieurs animaux observés, et pas mal d’informations sur la végétation par notre guide.
Caiman crocodylusIguana iguana, plutôt loin…
A partir de ce moment là, mon APN en prend un coup à cause de la pluie et de l’humidité. Les dégats commencent à se faire sentir sur les quelques photos suivantes.
Basiliscus plumifrons mâle, très loin.
La femelle,sur le même arbre un peu plus au dessus :
Après avoir vu des petites chauve souris pêcheuses et notre première mygale qui tombe sur notre bateau, nous faisons demi tour par d’autres canaux.
Un autre
Basiliscus plumifrons mâle :
"J’me casse !!! "
Un héron nocturne à tête de niais :
Cochlearius cochleariusPetites surprises en rentrant…
Ramphastos sulfuratusMais bon, toujours pas de serpent. Ça commence à me mettre en rogne. Je cherche mal ? Ou c’est vraiment balèze à voir ? Ou les deux ? J’espère que cette balade nocturne va changer la donne…
Il pleut toujours mais beaucoup moins. Mais c’est pas grave. On y va quand même. Un autre monde bouge la nuit. Et nous ne tardons pas à trouver nos premiers amphibiens.
Leptodactylus savageiiAgalychnis callidryasNous avons vu 5 ou 6 spécimens environ, en train de faire les acrobates un peu partout. Mâles et femelles…
Mais avec cette humidité, mon appareil commence à prendre cher. Les clichés commencent à être dégueulasses, y a de la buée à l’intérieur, et forcément c’est à ce moment que l’on voit notre premier ophidien. Non non, ce n’est pas une excuse bateau, car j’en ai quelques unes, des photos de serpents pas mal… Déjà que je ne suis pas forcément très doué, la malchance arrive aussi…
Perché à 8 mètres du sol environ, ce qui fait pas mal haut je vous assure…
Oxybelis fulgidus, environ 1.80 mètres.
Quelques mètres plus loin, à hauteur d’homme…
Leptophis depressirostrisJe suis dégouté de ne pas pouvoir prendre de belles photos. Ce n’est pourtant pas bien dur… Du coup je prends encore plus le temps de l’admirer.
Un anolis qui pionce :
Nous avons vu sur le chemin du retour un gros tatou qui traversait un chemin. Mais nous étions bien trop surpris pour prendre nos apn ! Chouette rencontre avec ce gros culbuto.
Le lendemain avant de plier bagages je décide d’aller refaire un tour au même endroit que cette balade nocturne. Et exactement au même emplacement où je l’ai trouvé la veille au soir, Mr ou Mme
Oxybelis fulgidus se faisait sécher au soleil (ouais, il ne pleuvait plus !).
L’appareil recouvre peu à peu ses capacités originelles, mais ce n’est pas encore ça.
Rester une journée au sec ne lui ferait pas de mal. Je décide donc pour le trajet jusqu’à notre prochaine étape de le laisser tranquille.
Direction Siquirres, une ville un peu plus au sud mais toujours dans la province du Limon. Nous ne nous arrêtons pas là mais continuons un peu plus loin, en montant jusqu’ à la forêt de Guayacan.
Nous nous dirigeons vers le C.R.A.R.C,
Costa Rican Amphibian Research Center, dont le seul maître à bord est Brian Kubicki. Un Américain vivant au Costa depuis 17 ans pour étudier les amphibiens.
Nous arrivons la nuit, à 18h30, et déjà c’est l’agitation là bas. Une équipe de tournage est présente pour un reportage animalier qui sera diffusé aux Etats-Unis en octobre ou novembre.
Brian nous précise que ce soir c’est sa femme et son voisin qui vous nous faire une balade nocturne.
Ici il ne s’agit absolument pas de visite guidée touristique. Il n’y a pas de sentiers aménagés et aucune trace humaine. La forêt est profonde, humide, habitée par énormément d’insectes, et la machette est nécessaire pour pouvoir évoluer tranquillement.
La femme de Brian et son voisin sont des Ticos pure souche. Ils connaissent le terrain, la faune et la flore. Voila qui s’annonce passionnant.
Quelques centaines de mètres et nous apercevons déjà quelques trucs un peu moins communs. Et mon appareil remarche normalement
Agalychnis spurrelliDendropsophus ebraccatusUn insecte bizarre :
Un crapaud dont j’ai oublié le nom
Amplexus de
Scinax elaeochrousLeptodeira septentrionalisCraugastor crassidigitusAgalychnis lemurTrès content d’avoir pu observer 6 ou 7 spécimens de cette espèce qui est relativement rare et en danger à cause de la destruction de son habitat. La couleur est verte la journée et marron la nuit. Les gros yeux blancs ou gris entourés de noir sont caractéristiques.
En descendant le long de petits ruisseaux, je trouve ma première grenouille de verre. Appelées Glass frogs en Anglais ces grenouilles ont la particularité d’être translucides, en particulier la face ventrale.
Je ne pensais pas en voir un jour. Inutile de vous dire comme j’étais ravi ! Il s’agit ici de la plus petite espèce, qui fait environ 2.5 cm à l’âge adulte.
Teratohyla spinosaCraugastor crassidigitusL’équipe télé ayant fini de shooter tout ce dont ils avaient besoin, Brian fini par nous rejoindre. En discutant et en marchant il me dit d’un ton très calme et en pointant sa lampe torche dans la forêt: "Il y a un
Imantodes innornatus là bas." Je regarde, et effectivement 20 mètres plus loin dans les arbres il y en a un. Sacré coup d’œil. On voit l’habitude, c’est impressionnant.
Oophaga pumilio, de nuit, et oui.
Lythobathes warszewitschiiColoration ventrale :
Ponte d’
Agalychnis callidryasRetour au lodge du C.R.A.R.C où nous passerons la nuit. L’endroit est superbe, juste en face de la forêt.
Le tout est très bien aménagé, avec une reliure sur l’histoire du projet, des plans, des photos etc…
Le lendemain matin nous retrouvons Brian qui accepte de nous montrer son laboratoire normalement interdit au public. Il s’excuse d’avance car selon lui c’est le bazar.
Oui Brian, c’est très mal, il y a un mouchoir sur ta table.
Divers terrariums :
Face ventrale d’une autre grenouille de verre.
Cochranella euknemosLa pièce aux salamandres :
Une de ses
Oophaga granulifera.
On va vite fait retirer du cash et faire le plein de la voiture à Siquirres et sur la route nous voyons une voiture en feux de détresse et 2 personnes accroupies sur la route. Nous nous arrêtons pour voir si il y avait besoin d'aide et en fait ils protégeaient juste un paresseux qui essayait de traverser.
C'était un paresseux à 3 doigts,
Bradypus tridactylus.
Je décide ensuite d’aller faire un tour autour du lodge pour observer les espèces diurnes.
Oophaga pumilioAllobates talamancaeDendrobates auratus, localité Caraïbe. On voit nettement la différence avec la localité Pacifique. Celles-ci ont beaucoup plus de vert.
Anolis sp.Le soir Brian me dit que la sortie nocturne durera plus longtemps que prévu car hier il n’était pas avec nous. C'est parti pour 5 heures dans la forêt primaire.
A 17h30 nous sommes prêts et partons nous enfoncer dans la forêt de Guayacan.
Première grenouille observée, la fameuse Grenouille marteau, ou Dink frog. Très abondante, elle se repère très facilement grâce à son chant rappelant le bruit d’un petit marteau sur une enclume.
Diasphorous diastemaDes œufs d’
Agalychnis spurrelli et d’
Agalychnis callidryas.
Un amblypyge, une espèce panchronique.
Des œufs d’
Agalychnis lemurAgalychnis lemurIl y a un animal que nous cherchons en particulier. Une grenouille devenue assez rare, et pas forcément facile à observer. Autrefois classée dans le genre Agalychnis, et même si assez ressemblante, elle est en fait différente par bien des aspects aussi bien physiques que biologiques.
Après 1h de marche nous finissons par en entendre une. Il nous faudra bien 15 minute pour la localiser grâce à son chant. Mais nous avons réussi !
Cruziohyla calcariferAprès cette petite session photo je me retourne et manque de me cogner la tronche là-dessus :
Corytophanes cristatus Duellmanohyla rufioculisHyalanobatrachium valerioiHyalanobatrachium fleishmanniSous l’apparent calme nocturne de la forêt tropicale, une guerre a lieu.
Sachatamia albomaculata, combat de deux mâles.
Pristimantis cerasinusBrachypelma albopilosumHyloscirtus cerasinusImantodes cenchoaTeratohyla spinosa en métamorphose.
20 mètres plus loin, un autre
Imantodes cenchoa.
Corallus anulatusAgalychnis lemurNous partons le lendemain pour la réserve biologique de La Selva, dans la province d’Heredia.
L’endroit est superbe et rempli d’étudiants et scientifiques.
Nous rencontrons un herpeto qui nous dit avoir vu un Terciopelo (
Bothrops asper) de 2 mètres de long dans le jardin la veille au soir. Il nous montre l’endroit mais même après d’intenses recherches il n’y a plus personne.
Les forêts primaires ici sont abondantes. Pour autant nous ne verrons pas énormément de choses. Mais pas des moindres !
Basiliscus vittatusAgalychnis callidryasEctophylla albaCes chauves souris blanches frugivores rongent les grandes feuilles de palmiers le long de la tige, les deux côtés de la feuilles s’abaissent et forment ainsi un abri pour quelques individus.
Ameiva festivaGonotades albogularisEt surtout…
Un énorme
Spilotes pullatus de presque 3 mètres :
Impressionnant spécimen d’une circonférence de 10/12 cm… Aucune agressivité.
Une imposante Tayra (
Eira barbara) a traversé juste devant moi également. C’est comme une grosse martre de 1.50 m de long.
Je ne poste pas les sempiternels
Oophaga pumilio et
Anolis que nous rencontrons tous les 5 mètres.
Biotope.
Au retour, un énorme
Iguana iguana, probablement âgé. Ce faciès de dinosaure est toujours aussi impressionnant, et malgré le fait que cet animal soit considéré comme "classique", je reste toujours en admiration.
Après une halte à Chilamate, nous rejoignons la dernière étape de notre voyage. La région de Monteverde dans la province de Puntarenas. Située en altitude, le climat est radicalement différent, et en arrivant de nuit nous nous surprenons même à mettre des pulls. On ne voit pas grand chose du paysage donc la surprise sera pour le lendemain. Le seul animal que nous verrons est un paresseux à 2 doigts en train de pioncer devant l’hôtel.
Choloepus didactylusLa journée il fait super beau, et on voit au loin les fameuses forêts de nuages quoi nous attendent. Étrangement, et malgré le fort soleil, nous recevons perpétuellement quelques micro gouttes d’eau. Ce n’est pas de la pluie mais l’humidité qui retombe, comme si quelqu’un avait un brumisateur à côté…
Bien que présents durant tout notre voyage, c’est seulement maintenant que je prends le temps de photographier quelques Colibris.
Colibri thalassinusHeliodoxa jaculaCampylopterus hemileucurusLampornis calolaemusL’après midi sera consacrée à la visite de la forêt de nuages de la réserve de Monteverde. Points d’animaux ici, à part quelques scolopendres dégueulasses. Mais la végétation… est juste incroyable.
De la mousse partout, des plantes épiphytes au large, des broméliacées accrochées sur toutes les branches… Je n’ai jamais vu autant de végétations sur de la végétation.
Au retour, Mr le branleur est toujours dans son arbre.
Première balade nocturne.
Megaphobema mesomelasAmplexus de (en attente d’identification !)
Nous sommes à 1450 mètres d’altitude, il fait environ 15/16°C.
Bothiechis lateralis. Très mauvaise photo désolé.
Dynastes hercules septentrionalis, le plus grand scarabée au monde.
Bothriechis lateralis, spécimen 2, très loin.
Bothriechis lateralis, spécimen 3.
Bothriechis lateralis, spécimen 4.
Une bonne soirée quoi.
Le lendemain matin nous décidons d’aller visiter la réserve de Santa helena. Et hop,
Bothriechis lateralis spécimen 5.
Quelques photos de la réserve. Là encore végétation luxuriante.
Le retour est pour bientôt, je décide donc de faire une dernière balade nocturne, relativement courte car je suis crevé.
Bothriechis schlegeliiJ’ai également croisé quelques
Craugastor crassidigitus, quelques grenouilles de verre et une
Duellmanohyla rufioculis. Quelques toucans qui dormaient, des paresseux à 2 doigts, un opossum…
Et le dernier reptile croisé durant ce voyage :
Bothriechis lateralis, spécimen 6.
Et voila c’est fini pour cette fois ! Et rappelez vous : Les photos c’est bien, mais le vivre c’est mieux !
Pas toujours facile de partir en voyage. Le temps, le fric, etc… Mais sur photo on ne sent pas, on ressent moins, il n’y a pas l’atmosphère si particulière, etc…