Pas la bonne attitude pour progresser, mais ça se sentait de toute façon de prime abord. Dans mes "reproches", sur les deux sujets où j'ai participé, il y a des "conseils", mais il faut encore pouvoir les accepter en tant que tels pour réaliser qu'ils en sont. Peut-être avoir un esprit structuré, je ne sais pas, moi, genre autour de la bonne volonté d'apprentissage, plutôt que de la bêtise bornée qui fait déglinguer des animaux, autant qu'elle fait refuser en bloc (et donc marquer un arrêt ferme et peut-être définitif sur le chemin du progrès et de l'amélioration) la critique. S'il y a plusieurs façons de déclarer à quelqu'un quelquechose qui va lui être désagréable, et qu'il s'en trouve toujours pour chercher la meilleure, celle qui sera perçue comme la moins désagréable, il n'en reste pas moins vrai que la prise de conscience de l'état de fait "je m'occupe mal de mes animaux" est désagréable de toute façon. Moi-même je n'échappe pas à ce phénomène, tu vois bien que j'ai pris soin d'écrire que tu t'occupes mal de tes animaux, plutôt que d'écrire que tu es mauvais ; ce n'est pourtant pas loin de ce que je pense, mais en toute rigueur, ce n'est pas exact : ça le deviendra si tu ne fais rien pour changer ça. Mais avant de changer ça, c'est-à-dire avant de te mettre à bien t'occuper de tes animaux, tu dois commencer par accepter que tu t'en occupes mal. Sinon, comment veux-tu que ça s'améliore ?
Allez, donne donc à manger à cette pauvre bête que tu vas faire crever de dénutrition si tu continues à t'en occuper comme ça, et puis bouquine un peu pour préparer l'arrivée de ton boa que tu vas j'espère différer jusqu'à être véritablement prêt à l'accueillir. Voilà des conseils, exprimés de façon plus explicite pour que tu puisses en saisir le sens, mais que je ne fais que répéter puisque tu les as survolés sans les voir avant de te mettre à riposter des stupidités.
Après tout, je me moque de ce que tu peux penser de moi, et je n'ai pas grand-chose à penser de toi. Mais je considère que bousiller des animaux quand c'est facilement évitable n'est pas défendable, raison pour laquelle je n'ai pas grand-chose à penser de toi. Et pourtant, tu vois que je communique quand même, alors que je sens bien que ça n'en vaut pas la peine. Des fois que ça puisse contribuer à améliorer le sort d'un ou deux serpents...